Les ballades sur les hauteurs d’Arrowtown

C’était une bien jolie ballade sur les hauteurs d’ArrowTown, avec mes fidèles compagnons Clémence et Etienne, eux même accompagnés de compagnons Arrowntowniens, Pauline et Victor également accompagnés du frangin de Pauline et de sa copine ( pour vous situer le contexte, je tâche d’être précis ).
Bref une expédition, française donc, au cœur de la cambrousse Néo-Zélandaise.

La partie sympa, c’est qu’en bons français, on s’est dit que le chemin ne valait pas le coup et on s’est amusé a faire un hors piste / crapahutage sympathique. Au rendez vous: la pluie, les feuilles mortes, les ronces, la rivière, la boue, les rochers qui glissent mais également les rires, les tarzanades, les gamelles aussi et quelle vue une fois en haut !
Autant de sensations qui n’étaient pas sans me rappeller ces bonnes vieilles balades dans la forêt de Saou avec mon Léo (”ça passe large” ou encore “attends, on va prendre un sentier d’animaux”) ou encore ces expéditions familiales où nous n’avions peur de rien.

Je me dois de faire mon mea culpa pour ces instants capturés avec mon fidèle smartphone.
Ce bon vieil ami de poche qui me permet, entre autres, de vous faire part de mes contemplations optiques, depuis le début de mon voyage aux antipodes et avec une fidélité relative, disons de 60%.
Pour le coup en photographie, c’est ce que l’on appelle des photos cramées.
Autrement dit des photos ratées, floues, aux incohérences colorimétriques flagrantes, généralement sur-exposées, que j’ai lâchement retouchées sur Photoshop au niveau des couleurs, contrastes, grain, niveau de détails, virage HDR et j’en passe.
J’aurais pu retomber sur mes pattes en inventant un nouveau style artistique de photos 6.02, encore mieux que le filtre Instagram mais, non.

Je vous prie donc de me croire et d’imaginer qu’encore une fois c’était magnifique, même avec un mauvais temps 😉

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Akaroa, dormir “chez la mer”, rencontrer des personnes magnifiques, faire une ébauche de footing inattendue et bienvenue, marcher sur des montagnes qui se jettent dans l’océan, rester scotché sous le soleil, finalement booker deux nuits de plus, faire du pain trois fois en une soirée, rire, sourire, discuter puis repartir